dossier de presse

Léo Ferre, un artiste vit toujours demain de jocelyne sauvard

Emilie TARDIF

Tout sur un Plateau
TV TOURS - Val de Loire

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France Ô, extraits d'émissions Ô quotidien
présentée par Fly Lerandi


Feux ou mortelle rapsodie

Aissata et Tatihou

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

faut pas tuer les goelands

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

mousson blues

 

 

 

 

Léo Ferré, un artiste vit toujours demain

Biographie, essai

Quelques échos d’avril/mai 2010
Magistral : "Léo Ferré, Un artiste vit toujours demain".
Cette double voix, est une fort belle idée parce qu'elle fait passer du dedans au dehors,
trace deux itinéraires, brosse deux tableaux d'une époque et donne au livre
 
une composition humaine et musicale.
C'est étonnant comme le Ferré réinventé par Sauvard est du Ferré, sans que cela sente 
le pastiche ou la citation. Qu'est-ce qui est vrai ? Qu'est-ce qui ne l'est pas ? 
J'ai appris beaucoup de choses. Le livre est à la fois porté par un souffle, qui est celui
de l'amour pour Ferré et celui de  la seconde moitié du XXe siècle
(depuis ses décennies poétiques à la  
période rock).  Avec une même pulsation des mots, faire  vivre cette mutation de la
société, du monde, de la chanson et de la musique…
C'est magnifiquement écrit, avec des mots qui chantent et  traquent juste. 
Comment appeler le résultat ? Un roman à double  épaisseur biographique ? 
Un poème romanesque ? De la bio-fiction ?
En  tout cas, tout est peint et filmé avec justesse et délicatesse. 
une continuelle douceur derrière la révolte et les cris  aux fracas d'orchestre. 

Ferré, c'était tellement ça. Cet écorché si  tendre masqué par ses invectives...

Gilles Costaz

 

Léo et la « petite »

Dans le cimetière de Monaco, le marbre est muet. Le prénom de Léo est invisible, sans écho, malgré sa brièveté. Comme s’il avait voulu que la seule trace, ce soit les sillons gravés dans le vinyle. Une manière d’être toujours présent, non par le souvenir, mais au cœur des mots et de la musique.
C’est ce que Jocelyne Sauvard nous donne à entendre dans ce livre où la vie de Léo Ferré est évoquée d’une manière totalement nouvelle : par l’empreinte de l’œuvre du poète, du chanteur, du compositeur sur la vie même de celle qui prend la parole. Jocelyne Sauvard entreprend une sorte de biographie du sensible. Tout en suivant Léo pas à pas, elle met les chansons en relation avec l’époque, pointe ce qu’il y a d’irréductible dans les textes, dès les débuts, et comment ce phrasé de la révolte, de toutes les révoltes, va nourrir sa propre sensibilité. Chaque nouveau disque, chaque nouveau concert balise l’existence de Jocelyne Sauvard. Les plaisirs se répondent, les drames entrent en collision. Plus on tourne les pages, plus la rencontre avec Léo Ferré gagne en intensité puis en intimité. Au point de se demander si, d’un coup, on n’est pas passé du côté du roman, de l’imaginaire. Sans qu’elle l’observe autrement qu’en spectatrice, au creux d’un fauteuil d’orchestre, une correspondance téléphonique qui durera des années s’organise, depuis la cabine d’un café parisien. Léo se livre à l’inconnue. Puis, la technique aidant, ce seront aussi des fax qui partiront de Toscane, en rafales. Il n’en reste rien de plus que les paroles échangées, du papier ébloui. Comme l’espace disperse les sons, le soleil mange les mots. L’important c’est qu’il y parle au présent :
« Qui est Léo Ferré ? On n’en sait rien. J’ai les cheveux gris, petite, et j’ai dix-sept ans. L’âge de Rimbaud, éternellement ».
Et on se dit qu’elle a cette chance d’être appelée « petite », comme une main amie qui ébouriffe la chevelure d’un enfant.

Didier Daeninckx

 

Un texte qui n’a pas peur de donner de la voix et qui la fait vibrer par delà la mort
— c’est ce qui me plaît— pour  une biographie réinventée, créant un lien attachant et authentique avec Léo, artiste, disparu pas sage, râleur, contradictoire, souffrant quand on l’on empêche d’en placer une. J’espère que Léo va renaître vite !
Denis Gombert

 

Jocelyne Sauvard nous entraîne sur le chemin de la relecture, moment infiniment précieux qui consiste à raviver ce qu’on croit connaître,  pour se revigorer dans le flot des images et des résonances. Car le verbe et la musique ne sont pas dans le même rapport au temps que l’écrit, ils s’inscrivent dans la durée. Sitôt proférés, ils n’existent que dans ce qu’ils ont fait germer chez l’auditeur, et appellent d’être risqués à nouveau devant public pour manifester leur incandescence.  Page à page, elle nous fait entendre en contrepoint cette voix inoubliable qui nous prend comme l’amour, comme la musique toujours prenait Léo Ferré. »

Gérard Authelain, musicologue, France Culture

 

« Un livre remarquable, une biographie à deux voix, Léo Ferré et l’enfant de la nuit qui pourrait peut-être s’appeler Jocelyne Sauvard, non ? C’est vraiment «  Les années Léo » ! Dans chaque scène on y est ! Même dans la boulangerie près de Pershing,…ou dans l’île sur l’Atlantique, ou la nuit, ou quand il compose. On ne sait jamais ça ! comment ça vient la musique, la poésie et dans votre livre Jocelyne Sauvard on est  dans le secret de la création.. Et le 10 mai à la Mutualité, j’y étais, c’est tout à fait ça !  Et l’Algérie, l’Indochine, et la femme…quelle pudeur,  et  l’importance des animaux, pudeur encore et en même temps, c’est fort. C’est un pudique, un secret, Léo Ferré, celui du livre, Léo, c’est  vrai. Et Vaux en Velin,, on est dans la salle avec lui qui ne bronche pas sous les attaques, et ses thèmes, l’Anarchie, la liberté, ou le rapport à la pop, à Jimi Hendrix, on le découvre autrement. Et son rapport aux autres artistes ou écrivains Tellement de choses que l’on ne sait pas, que l’on découvre. Les évocations… L’écriture., je suis fan. Il faudra en parler et en parler encore »…

Alexandre Laurent, IdFM

 

« Son corps est tout entier dans sa voix et elle monte, plane, module, s'étire. La tessiture est primordiale, il l’a expliqué à la radio. Et il a parlé de la poésie qu’il met en musique.. Il regarde le troisième fauteuil du premier rang, et c’est moi qui suis dedans » et c’est vous qui êtes dedans Jocelyne Sauvard.. Passionnée de Léo Ferré… Nourrie par Léo Ferré. C’est vous qui étiez dans ce fauteuil et, depuis enfant , toute votre vie, vous avez cette fascination pour  Léo Ferré ; immense poète musicien …Dans votre livre vous posez aussi ses racines : le mot c’est le sud, et les grandes rencontres musicales à l’Opéra de Monte Carlo et :la direction d’orchestre,  et  le bouleversement avec Beethov, avec la musique, et l’écriture . Et comment vient cette écriture de la musique, et de la poésie, et  vous nous donnez à lire cette  carrière très étonnante, d’une  violence inouie, carrière en dent de scie, il a été une star, après une conquête sur  le monde de la musique et sur lui-même, vous expliquez,  vous dites qu’il a mis de lui-même, vingt ans à parvenir au sommet,  qu’il est devenu une  star… La force de sa parole étant, on attendait quelque chose d’aussi fort de ses actes…  Cohérent, dites vous toute sa vie,  Léo Ferré l’a été…  Jocelyne Sauvard on a bien compris que vous pourrez defendre Léo Ferré des jours, des nuits, des mois »…

Jeanne Martine Vacher, France Culture, Les vendredis de la musique

 

Et France bleu, Judaïque FM, Téléobs, Nouvel obs, La Dépêche du Midi, La Presse de la Manche, La Marseillaise, Les Copains d’la Neuille…

 

Faut pas tuer les goélands

Aventure et engagement

Les éditions du Monde Global (dont nous parlions déjà ici), viennent de lancer une nouvelle collection de "romans pour s’ouvrir au monde et rêver la planète."Will et Florine vivent loin l’un de l’autre (900 kilomètres pour être exact), le premier à Saint-Malo et la seconde à Knokke-le-Zoute, en Belgique… Ce qui les rapproche malgré tout ? Leur amitié, le même goût pour le surf et … l’aventure, évidemment ! Aussi, quand Will comprend que les soutes du vieux cargo qui s’est échoué sur la plage (après avoir dégazé en mer) héberge des hôtes clandestins plutôt menaçants, il décide, sans y réfléchir à deux fois, de mener sa petite enquête, accompagné de Nénes, fidèle labrador. Le garçon, curieux et débrouillard, imagine tous les scénarios catastrophes possibles – car il est bien renseigné : il sait ce qu’est une marée noire, il a entendu parler de Tchernobyl ou de l’amiante, et les ombres aperçues tard le soir sur le navire lui ont mis la puce à l’oreille…

Florine, « miss ès sciences » (parfois horripilante mais toujours de bon conseil…), l’aide à distance (via sms, internet ou cabine téléphonique… car même si Will ne possède pas de portable, il fait avec). Les dialogues enlevés, la prose inventive, expressive (tel l’accent québécois de la mère de Will – auquel celui-ci a recours quand il faut amadouer la première…) et le rythme sans temps mort accrochent d’emblée le lecteur (jeune ou moins jeune), de même que le suspense qui s’installe dès les premières pages. Le roman aborde ouvertement divers sujets environnementaux, avec une pointe d’humour : des thématiques toujours insérées à l’action mais jamais aux dépens de celle-ci, comme cela est parfois le cas dans certains romans jeunesse très didactiques.

Blandine Longre

Radio France Berry     

 

Les Hautes lumières

Le voyageur anonyme qui voyage dans le pays d'enfance, le passé qui revient à l'aide des photographies, les souffrances et les blessures, la prise de conscience de lui-même, un sujet rare, la forme est belle.

Hector Bianciotti

 

Jocelyne Sauvard donne des bribes du puzzle  et fait confiance au lecteur pour reconstituer le tableau. La qualité brutale et poétique du texte n'est pas pour rien dans cette sorte d'envoûtement que l'on éprouve insidieusement au fil des pages. Aucun personnage n'est indifferent, les plus fugitifs sont croqués avec sureté de main qui impressionne. Jamais rien de gratuit, d'inopérant dans l'économie du texte, la technique de lambiguité en fait un un récit de haut vol...

Jacques Lovichi La Marseillaise

 

Du nouveau sur Raskolnikov?

Une satire drolatique du monde littéraire et de sa  petite foire aux vanités, où la mégalomanie est un des virus les plus dangereux. C'est très réussi.

Serge Brussolo

 

Jocelyne Sauvard analyse avec une férocité exemplaire et jubilatoire le petit monde de la littérature policière et donne un échantillon savoureux de ces auteurs toujours sur la branche et qui semblent en permanence porter le fardeau de ceux qui se sentent exclus de la grande littérature

Jacques Lovichi  La Marseillaise

 

Jocelyne Sauvard nous emmène à sa suite dans une intrigue pimpantedans une mise en mots élégante où la narration ose les digressions les plus décaléees...  n'hésitant pas à joindre le romanesque à la poésie pour corser à la fois son mystère et cette manière si malicieuse qu'elle a à la fois de nous le livrer, elle nous offre un bijou d'humour noir.

Gilles Bornais Le Parisien

 

Les grands barrages

Les nouvelles ont un point commun, se situer aux environs des grands barrages, d'étendues liquides et d'eaux vives,  Hermine et Anatole faisant le lien entre les récits. Jocelyne Sauvard nous promène de l'époque cathare à notre siècle sans qu'apparaisse aucune rupture. Lécriture sourd comme une jubilation, une ivresse du mot. La phrase diverse et éclatée comme une rivière, avec retrécissements, chutes, remous, rapides,  enfin une écriture fluide dans laquelle l'auteur immerge le lecteur qui se trouve pris dans le texte comme dans une grotte marine à sortilèges.

Cette emotion fascinée quelle éprouve pour l'eau, elle la communique moins par la signification immédiate que par le mouvement et le cours de ses phrases.

Jacques Lovicchi La Marseillaise

 

Pieces juste noires

Un théâtre de la langue

Dans Lethal romance Jocelyne Sauvard se glisse dans la peau noire d'un jeune condamné à mort qui attend depuis quinze ans son execution... Il ne s'agit pas pour l'auteur de juger ni même de commenter mais simplement de montrer. Le plus extraordinaire estque l'on rit parfois de bon coeur tant ce condamné facétieux et humain emploie d'humour et d'ingéniosité dans la résistance à cette abominable terreur...

Jacques Lovichi La Marseillaise

Lethal romance est l'exemple d'une écriture neuve et rythmée  axée sur la cruauté d'un monde répressif, l'auteur qui parle du mal de vivre des cites françaises ausculte  ici un mal américain.

Gilles Costaz Le Masque et la plume France Inter

Le ton syncopé, le traitement chaleureux de cet ancien mannequin qui aime Beckett, Koltes et Bernhardt et professe l'art d'écrire en font un auteur qui compte de plus en plus...

Gilles Costaz Politis

 

Dans la grande nuit et procès verbal , refléchissant sur son art  et sur les comédiens elle livre un theatre de la langue, un trait vif à la Daumier avec une férocite verbale qui illumine d'humour terrible ces tranches de vie.

Jacques Lovichi  La Marseillaise

 

Mousson blues

Voir articles de presse

Sitartmag

 

Chambre noire

Jocelyne Sauvard n'a aucune méfiance à l'égard des mots. Il est clair quelle aime en jouer avec un sens qui fait honneur à son théâtre 

Jean Pierre Leonardini L'Humanité

Dire  ce qui fonde le travail de l'artiste dans un texte construit comme une serie d'instantanés d'iune grande maitrise,  le vampirisme de la photographe, sa recherche dans l'érotisme même d'une absolue pureté, la révolte des modèles, ces femmes icônes, admirablement montrées. Lo, de modèle est devenu prédateur à son tour, comme l'auteur qui signe ici sa première pièce.

Bernadette Bost Le Monde

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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